mardi 8 mars 2022

Ne pas saucissonner les commandes philatéliques

 Dans la série Comment les services philatéliques du monde emballent nos commandes : Postes Canada.

Dans le coin inférieur droit de l'enveloppe cartonné de Postes Canada, la consigne aux collègues facteurs.

À l'occasion de l'émission du jubilé de platine de la Reine Elisabeth II, début février 2022, j'ai passé commande et j'y reviendrai prochainement.

Pour l'emballage, pas de timbres-poste... :'(

Mais une enveloppe cartonnée, qui me semble plus fine que celle de la française Philaposte, mais paraît difficile à plier en deux.

Sur le recto, trois choses : deux grands autocollants de type colis et une mention pour la manutention par les postiers en chemin. Je ne reproduis pas les autocollants car ils fourmillent d'informations privées.

Le premier indique le service « Petit Paquet - Avion », les adresses de l'expéditeur et du destinataire, la nature et la valeur du contenu au modèle déclaration aux douanes CN22. Apparemment, la douane français n'a pas stoppé les deux envois qui furent nécessaires (le plus coûteux contenant un peu moins de cinquante dollars canadiens de valeurs).

Le second autocollant me paraît redondant : adresses des mêmes, de nouveau nature et valeur des productions à l'intérieur avec les mêmes détails et le texte par lequel l'expéditeur-exportateur affirme et signe la véracité des informations portées. Peut-être que le modèle comprend deux autocollants pour faire face aux commandes plus étendues que les miennes en nombre d'items ?

Le « DO NOT BEND » est connu de ceux qui reçoivent des courriers fragiles du Royaume-Uni où l'on utilise des enveloppes papier au dos renforcé d'un carton. Ici, elle est bilingue et demande également de ne pas « ficeler » l'enveloppe au sein d'un paquet de courrier.

Enfin, pas de frais de port ou de préparation de commande, peut-être ai-je commandé suffisamment.

La suite du contenu dans les publications à venir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire