vendredi 9 août 2024

Le premier bureau de poste à l'arrivée en Corée

 Après quinze heures de vol direct, à longer tout en l'évitant les espaces aériens ukrainien et russes, et à faire un sacré zig-zag pour contourner le centre de Beijing autant que de passer trop près de la Corée du Nord, voici le voyageur marchant sur le sol coréen à l'aéroport international d'Incheon, construit sur une des îles du littoral à l'ouest de la capitale Séoul.

Une note linguistique : 인천, Incheon ou Inchŏn dans une ancienne transcription, car "eo" identifie ici un O ouvert. Sur place et les pays anglophones, on évitera ainsi le sÉoul français ; même principe 서울, Sŏoul - Seoul.

Le visa d'entrée autocollant ; désolé pour les marcophiles et philatélistes fiscaux.
Le QR-code ne peut être lu sur un smartphone normal.

De suite, une fois passé la frontière, se repérer pour quitter l'aéroport, profiter du voyage ou, dans mon cas, rejoindre l'aéroport de Gimpo et une liaison vers l'île de Jeju.

Dans cet ordre, ou pas : les toilettes, l'accès du train express entre Séoul et ses aéroports, une supérette,...

Panneau de direction vers le bureau de poste de l'aéroport d'Incheon.

... un bureau de poste !

Qui complète plusieurs points privés d'envois de colis, voir la page dédiée sur le site web de l'aéroport.

L'entrée du bureau de poste de l'aéroport d'Incheon, dans un coin d'un grand espace.

Comme je le verrai ensuite pendant le voyage, mêmes signalétique, agencement des meubles, services proposés (postaux comme financiers). La photographie reste vague : outre la sécurité d'un aéroport, il y avait un petit groupe de clients à ce moment-là.

Mais, pas d'utilisation personnelle : pas de carte postale, ni d'enveloppe adressée prête, et le but restait de trouver la navette ferroviaire vers la première grande étape du séjour.

À suivre.

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