samedi 23 avril 2011

À défaut d'invitation royale...

À défaut d'être invité par la Reine au mariage de son petit-fils, le 29 avril 2011 prochain, Ian Billings de Norvic Philatelics a découvert une compensation.

La publicité de Royal Mail pour ses produits philatéliques liés au mariage est incluse dans une enveloppe affranchie d'un first class Machin. Celui-ci, comme les autres depuis 2009, dispose des dispositifs de sécurité : découpe en surface pour déchirer le timbre à détacher, encre brillante selon l'inclinaison et un code à lettres.

Ce code à lettres permet de distinguer la forme de vente, voire l'année, du timbre. Ainsi, dans les inscriptions ROYAL MAIL en vague à l'infini, une lettre est modifiée (ou deux pour l'année).

En théorie, le plus rare pourrait être le MRIL visible sur cet envoi publicitaire car il sert sur les timbres issus de rouleau de dix mille timbres !

Ces rouleaux, comme signalés en 2009, sont vendus par le service de vente par correspondance de Royal Mail, à Edimburgh, mais pas celui ouvert aux collectionneurs : celui des entreprises (Royal Mail Direct). Soit 4600 livres pour le first class et 3600 pour le second class depuis le changement des tarifs, le 4 avril 2011.

Parfois vu sur les courriers en grand nombre au tarif économique (timbre 2nd class bleu), on comprend l'enthousiasme du marchand de Norvic quand il reçoit de telles publicités.

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Pour ceux qui veulent suivre les recherches d'Ian Billings sur les Machin sécurisés au fur et à mesure de ses trouvailles, par ici.

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