Les plus thématistes sportifs pourront se tourner vers l'association Sports Philatelists International, basée aux États-Unis, l'Association française des collectionneurs olympiques et sportifs (qui pourrait signaler son changement d'adresse web au Comité national olympique) et toutes les émissions opportunistes des deux cents et quelques pays philatéliques et agences de papier-peint dentelé. Première esquisse par Jean-Louis Emmenegger dans le numéro d'été de Timbres magazine.
Le continent peut inspirer des retours sur expositions et lectures. Déjà, à Paris-Philex, les empeintes Daguin du Chili par Jean-Michel Garaud...
Avec son numéro daté août, Stamp magazine étudie les timbres d'un des départements de Colombie : Boyacá - même si c'est la Première Guerre mondiale qui inspire majoritairement le mensuel...
Carte du réseau de la compagnie bolovienne d'après Alberto Decombe, Historia del Ferrogarril de Arica a La Paz, 1913 (via Commons de Wikimedia). L'article de Hobbs se concentre sur la partie bolivienne de la ligne. |
L'article de la Wikipedia en anglais nous apprend (sans notes infrapaginales) que la première ligne est ouverte en 1893 pour permettre l'exportation de minerai par la concession accordée par la Bolivie à l'entreprise minière australienne Clarke & Company, dans la région d'Antofagasta. La Guerre du Pacifique de 1879-1883 place la région sous le contrôle du Chili, ce qui n'empêche pas la continuation de la ligne - qui sera cotée à la bourse de Londres en 1888 - plus à l'intérieur de la Bolivie.
Depuis les années 1960, le contrôle capitaliste britannique a laissé place à un contrôle public bolivien et un conglomérat minier chilien.
La première page de l'exposition 148 Years de la Royal Philatelic Society London pour New York 2016 (copie d'écran de la publicitation en ligne : lien signalé ci-dessous). |
Jeudi prochain après-midi, à son siège à Londres, les membres proposeront des collections d'Amérique latine pour marquer la fin de la saison 2015-2016, qui complète l'exposition du mois sur l'Antarctique britannique par Hugh Osborne (visitable en ligne par là), ce qui permet d'avoir sûrement touché tout le continent.
Reste à varier les médias encore un peu : télévision avec le rappel des facteurs des favelas à Rio soit par la série télévisée Cidade dos Homens, soit par des reportages.
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