lundi 13 février 2017

Recommandé international : contre signature ou pas ?

Petite énigme laissée par le facteur le vingt-et-un janvier dernier : cette enveloppe méritait-elle d'être distribuée en main propre ?
Lettre de service du Service philatélique de Polynésie française oblitérée le dix-janvier 2017.
Pas de timbres-poste : c'est une source de revenus après tout et un coût si ce n'est pas vendu à un collectionneur. La preuve : j'en commande.

La douane n'a pas réagi face au contenu et au montant énoncés sur la petite fiche. Alors pourquoi vouloir me le donner en main propre ?

Le code-barre débutant - discrètement - par un « R » comme « recommandé international » puisqu'entre deux pays philatéliques ?
Le suivi de la lettre jusqu'à la plate-forme courrier de Roissy, en métropole (site de l'Office des postes et télécommunications de Polynésie française).
Sûrement aux yeux des fiches de suivi, de la Distribution, donc du facteur : d'où un deuxième code-barres de communication entre les bureaux postaux et le destinataire. Une gommette rose avec le bureau de retrait final apposé sûrement après que je n'ai pas employé, dans les temps, l'outil web pour choisir ledit bureau et qui m'était expliqué sur l'avis de passage retrouvé dans ma boîte aux lettres.
Le suivi de la création de la recommandation jusqu'à la plate-forme courrier de Montpellier, près de l'aéroport (Suivre vos envois sur laposte.fr)
Ou pas : au bureau, le jour ouvrable suivant : surprise de la guichetière autant que de la mienne, rien à signer.

Le regard du facteur sur votre carte d'identité fait visiblement foi... ou la tablette postale ne comprend pas ce type de recommandé ?

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