Celle que j'aurais bien vu pour une Fête du timbre, mais bon, Eslinger l'a sommé : les personnages sous licence sont trop coûteux... pour la Fête du timbre ! Ça donne l'impression finale que la Fédération française des associations philatéliques s'est faite avoir dans l'histoire, mais bon, ses dirigeants ont signé la Charte.
Philaposte peut donc bien faire ce qu'elle veut. Tiens, accumulez trop de petits trucs sur un seul bloc. Oh ! Pris séparément, c'est plaisant. La petite nouveauté pour bien vendre. Tous... ?
La poudre de pierre (et non de monuments anciens) sur le menhir d'Obélix. Bien. Logique.
Même si, déjà, deux autres versions du timbre existent. Une prévue par Philaposte, l'autre douteuse si prévue. La première est contenue, ô surprise, dans un livre timbré. Certainement, par souci technique (des caillous se balladant dans une presse pour livre relié...), pas de poudre sur ces feuillets.
L'autre, par contre : un lecteur du Blog philatélie signale une différence d'aspect entre les blocs disponibles au premier jour et ceux qu'il a trouvés au bureau philatélique de la rue de Louvre. Accident industriel, donc variété... Ou manque de matière première minérale, donc type... ? Volontaire ou involontaire ?
Qu'en est-il alors de celui (ci-dessus) acheté au point philatélie de Montpellier-Préfecture ? Je ne dispose pas d'images de référence puisqu'il me semble que presque toutes les images en circulation (sauf ici) sont des images promotionnelles lisses de Philaposte.
[30 mai 2010 : et non, grâce à Alain de Philatélix, Franc.K et une loupe meilleure que mes yeux fatigués, le trait blanc n'est qu'un accident sur le timbre de ce bloc-ci... Rapidement un article sur ma ridiculité :p ]
Les autres surprises font liste à la Prévert, même si elles entrent, d'une certaine manière, dans l'amusement de relire une bande dessinée dans les détails :
- le gros timbre Obélix,
- le minuscule timbre Idéfix,
- le tout constituant un nouveau jeu de l'Avent : découper les six timbres selon la dentelure.
Une valeur faciale en sesterces et des mentions de pays « Gaule ». Amusant dans le contexte.
Et, enfin, une ligne de citations de la série imprimée minusculement au-dessus de la rangée de personnages attendant la potion magique. À vos loupes à très fort grossissement. Ça me ferait croire que Philaposte encourage l'achat des microscopes électroniques à la mode en philatélie britannique.
Plus les tête-bêche du timbre de feuille. Là, avec une feuille de timbre sous les yeux, on se rend aisément compte de la simplification du travail d'impression des dégradés de bleu. De là à penser qu'Eslinger et son comptable ont imaginé... Nooooon, pas eux !
Ne manque plus que le φ du diableslinger qui va, dès le mois prochain, défigurer une bonne partie des timbres-poste de France.
Vraiment, avec sa série des personnages jeunesse sans ce bloc, j'ai vraiment l'impression que la Fédération s'est faite rouler dans la farine... Tant mieux pour la Croix-Rouge française et les éditions Albert-René.
- le gros timbre Obélix,
- le minuscule timbre Idéfix,
- le tout constituant un nouveau jeu de l'Avent : découper les six timbres selon la dentelure.
Une valeur faciale en sesterces et des mentions de pays « Gaule ». Amusant dans le contexte.
Et, enfin, une ligne de citations de la série imprimée minusculement au-dessus de la rangée de personnages attendant la potion magique. À vos loupes à très fort grossissement. Ça me ferait croire que Philaposte encourage l'achat des microscopes électroniques à la mode en philatélie britannique.
Plus les tête-bêche du timbre de feuille. Là, avec une feuille de timbre sous les yeux, on se rend aisément compte de la simplification du travail d'impression des dégradés de bleu. De là à penser qu'Eslinger et son comptable ont imaginé... Nooooon, pas eux !
Ne manque plus que le φ du diableslinger qui va, dès le mois prochain, défigurer une bonne partie des timbres-poste de France.
Vraiment, avec sa série des personnages jeunesse sans ce bloc, j'ai vraiment l'impression que la Fédération s'est faite rouler dans la farine... Tant mieux pour la Croix-Rouge française et les éditions Albert-René.
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