mardi 16 février 2010

Ça grouille dans le bénitier

De l'agitation dans la mare philatélique française, aussi appelée « océan Paciφque » ou « mer de la Charte » et, pour une fois, Eslinger n'y ait pour rien.

L'Union marcophile, une des associations philatéliques françaises par thèmes (et non de proximité géographique), va démissionner de la Fédération française des associations philatéliques. D'un problème de localisation du siège social de l'UM à la FFAP, la solution approuvée par 80% des 72% des membres marcophiles ayant participé à la consultation est de partir.

Tout cela relance, ici ou là, le débat sans fin de l'utilité de la Fédération dans le contexte des États généreux (pour La Poste) de la φlatélie et de la Chââârte.

Quelles conséquences ?

Un millier de membres fois tant d'euros de cotisation fédérale... le trésorier fédéral dira au congrès de juin prochain combien de souvenirs de la Fête du timbre à vendre en plus.

Peu d'effets d'après les avis pour les membres eux-mêmes : ils sont membres de plusieurs associations et ont donc toujours une cotisation à jour s'ils souhaitent exposer en compétition. Critère qui paraît être un de ceux qui motive le plus le maintien des adhésions.

Peut-être sera-ce plus difficile d'organiser Marcophilex désormais sans l'appui financier et compétitif de la Fédération et de ses partenaires ?

Je suis certes à distance de ce genre d'affaires, mais il ne me semble pas voir autant de souci entre les associations fédérées et leur fédération au Royaume-Uni ou aux États-Unis. Autres lieux, autres utilités fédérales ?

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