Jean reste éveillé pour ne pas rater le train (TGV), le RER (A), le métro (1), le feu (rouge) et le portail d'entrée du Parc floral de Paris, et atteindre les précieux coffrets des Marianne d'Or, la dernière trouvaille eslingerienne pour dépecer les φcollectionneurs d'un côté et les malheureux philatélistes de l'autre, ces derniers qui avaient assuré qu'ils n'étudieraient plus que les timbres d'usage courant à la Marianne, se tenant éloigné du reste du programme φlatélique pléthorique.
De mon côté, je dors, loin de considérer les désormais très-habituelles pirouettes pousse à la dépense de φlal@poste lors de ses salons.
Je rêve plutôt d'accorder mon emploi du temps professionnel et mes dépenses personnelles pour, cet été, aller à Londres-la-Philatélique et retourner en Rhénanie, non pour la philatélie (quelques posts néanmoins bientôt si je trouve le temps) mais juste pour les paysages naturels, industrieux et urbains.
Je savoure surtout depuis le dimanche 6 le plaisir de savoir que la Marianne de Nicolas-Bling-Bling, vêtu d'une robe de bure, cette Marianne triste et peu motivante, bientôt sera remplacée par une effigie bien plus optimiste pour l'avenir de notre République.
Mon seul cauchemar : que d'ici deux heures, le Montpellier Hérault devienne champion de France de football...
Non ! Pas à cause des timbres pseudo-personnalisés vendus à la valeur φciale (faciale + gros %) qui vont suivre, mais à cause des fêtards automobilistes dans la nuit.
PS : si vous voulez savoir comment découvrir le football montpelliérain, écoutez le commentaire du match par Philippe Sers sur France Bleu Hérault, audible partout dans le monde grâce au réseau internet. Lui mériterait vraiment un timbre... ou plutôt ses cordes vocales :)
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