Numéro de janvier 2013 de Stamp Magazine.
Tout cela car la taille-douce coûte cher... plus ou moins que les solutions proposées par monsieur Logette ?
Pendant que cet avis trône dans L'Écho de la timbrologie (un ballon d'essai pour Phil@poste ?) de décembre 2012, son collègue britannique ouvre sur La Lutte de Jacob avec l'ange d'Eugène Delacroix, gravée par Pierre Gandon pour les postes françaises en 1963. Cela annonce le dossier de Michael Chambers qui, face à tous les timbres achetés puis rangés définitivement, a décidé et propose de collectionner les timbres vers lesquels le collectionneur se retournera pour leur beauté esthétique.
Son critère est la collection par graveur, un exemple chacun ce mois-ci : Arne Wallhorn et ses paysages urbains, Rudolf Toth le graveur en abyme, John Harrison et ses Seahorses, Raoul Serres et la pelote basque, Jules Piel et son George Washington de Monaco, Frank Manley l'Australien, Sven Ewert et le tricentenaire de la poste suédoise, Pierre Gandon donc, Albert Decaris et les tranchées, Vittorio Nicastro et le tenor Enrico Caruso, Josef Herčik le Tchèque libre, Paul Calle et un rappel du soutien aux enfants autistes, Pierre Albuisson et, bien sûr, le maître polono-suédois Czesław Słania.
L'auteur avoue les difficultés de la recherche : trouver les catalogues les plus bavards sur les auteurs, profiter des collectionneurs et connaisseurs qui ont pu publier sur internet leurs passions pour tel ou tel artiste. C'est pourquoi est cité Phil-Ouest qui permet de retrouver les timbres de France par artiste.
Réponse coïncidentale à Logette : Même la France, depuis si longtemps un paragon de bon goût, a produit une série pour suivre la mode Harry Potter et des timbres sentant le chocolat. En précisant (en français dans le texte) : à chacun son goût.
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