samedi 15 novembre 2014

Lundy n'intéresse pas que les ornithologues et les philatélistes

Au gré des lectures de magazines philatéliques, il est des sujets où l'auteur de ces lignes se dit que, décidément, ne s'y intéressent que les personnes en manque d'images dentelées gommées : le système bipostal andorran quant le reste du monde ne va dans ce pays que pour les produits détaxés, la multitude des souverains locaux disposant leurs effigies sur des timbres censément d'un pays membre de l'Empire britannique ou de la Fédération de Malaisie ou d'une communauté d'émirats...

Sans oublier pourquoi, en Antarctique, des manchots adéliens acceptent d'emprunter une passerelle et pourquoi on en fait un timbre.

Dans ces sujets figurent les postes privés des îles et îlots britanniques, tellement peu peuplés et difficiles d'accès, que l'administration des postes de Sa Majesté a très tôt trouvé trop coûteuses à desservir. Comme Lundy à dix-neuf kilomètres du Devon, au sud-ouest de l'Angleterre, à deux heures de ferry des ports proches.

Pour une histoire postale et des images des timbres à valeur faciale émise en puffin ou macareux au sud de la Manche, voir cette page non datée du Stamp Collecting Blog.

Et bien, j'avais tort, en découvrant pendant un séjour anglais, dans The Times, pardon un de ses multiples magazines additionnels du week-end The Sunday Times Magazine du dix août 2014, une rencontre entre la journaliste Victoria Coleman-Smith et le manager de l'île Derek Green. Version (payante) en ligne par ici.

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