Et oui, le dixième article échappait à ma mémoire immédiate à chaque fois que j'envisageai quel sujet pour l'épisode suivant, alors que ce livret distribué à l'entrée du salon a été mon compagnon permanent pendant l'écriture, aussi essentiel que mes notes et mes photographies prises sur place, fin mai 2016.
Malgré un contenu très convenu, mais n'est-ce pas son rôle officiel ?
Les premières pages sont consacrées aux huiles (essentielles ?) avant de se consacrer aux volontaires du comité d'organisation, puis au jury, mais pas avant d'avoir listé tout le « parcours philatélique complet » vendu par le grand financier du salon.
Instrument essentiel du blogueur sans mémoire : la liste des participants du championnat par classe... Étrangement, la liste des donateurs des récompenses est séparée du jury et des participants par le long catalogue des stands ? Et la liste des concurrents par ordre alphabétique repousée à la fin avant les publicités ??
À la quarantième page, enfin, de l'étude philatélique avec Jean-François Gibot et la genèse du mille francs Vue aérienne de Paris. Cela permet d'amener la liste des cadres proposés par les académiciens sur leur stand... et, subrepticement, de placer le bonus des Trésors de la φl@télie 2016.
Dans les pages finales, évacuons l'intrus : Super Victor, mascotte de l'Euro, et ses collectors à gogo déjà imprimés en onzième page. Restent les annonces des événements fédéraux à venir : Timbres Passion à Toul (jeunesse, thématique et polaire) en octobre prochain et enfin l'association volontaire pour accueillir le championnat du vingt-huit au premier mai 2017 : Cholet et sa localisation sur une carte de France. Et en dernier, la Fête du timbre les huit et neuf octobre.
Pourquoi le conserver ?
La mémoire des participants déjà : compétiteurs, académiciens et autres invités exposants de collections. Iconographie de la promotion des manifestations philatéliques ? Les trois discours inauguraux... Utile pour les historiens de la philatélie organisée pour détecter les évolutions dans les discours officiels et comprendre la transformation des salons φr@nçais en grandes messes biennales et leur échec.
En attendant, merci à Martine Divay pour avoir présidé à son édition. Et hop, aux archives jusqu'au jour où la mémoire aura besoin de se rafraîchir.
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