La cartopostalopathie dans le Spirou des vacances

Si l'on veut que la collection de timbres et de courrier continue, il faut que l'acte de correspondre par écrit et les objets nécessaires apparaissent dans la vie quotidienne des futurs collectionneurs, autant celles des plus jeunes...

...que de leurs ascendants : il faut bien quelqu'un pour leur montrer l'exemple.

Extrait de « Vacances à la carte », mini-histoire publiée dans Spirou n°4289-4290, vingt-quatre juin 2020.

Ainsi, il est intéressant de voir la génération actuelle d'auteurs de bandes dessinées (comme du côté jeu vidéo) rappeler aux lecteurs la pratique vacancière de l'envoi de cartes postales à sa famille et ses proches.

Dans le numéro double Spécial Vacances de Spirou - n°4289-4290 paru mercredi vingt-quatre juin et en vente jusqu'au mercredi premier juillet -, la carte postale et le timbre-poste apparaissent à deux moments.

Une histoire courte du scénariste Jorge Bernstein, dessinée par Bercovici et mise en couleur par Robin Le Gall, évoque le drame de certains qui veulent perpétuer la tradition de la carte de vacances :

la cartopostalopathie.

Je laisse un extrait du début, à vous de découvrir ce mal dans le magazine chez votre marchand de journaux ou en ligne sur la librairie izneo.

Extrait de la double page jeux créés par Mouk, publiée dans Spirou n°4289-4290.

Les érinnophiles passionnés de bandes dessinées se tourneront vers le cahier central de jeux - imposant avec ce double numéro vacances. Mouk y a déposé deux clins d'œil : une boutique de cartes postales dans cette forêt équatoriale et un Spirou devant deviner l'auteur d'une carte qu'il a reçue...

... affranchie - mais pas oblitérée - d'un timbre Spirou rouge.