Le site d'information Marianne 2 évoque les états généraux de la presse (ou Grenelle de la presse) avec le même scepticisme que certains, dont moi, ont considéré les états généraux de la philatélie (ou Grenelle de la philatélie, voire colloque sur la perception de la philatélie par une trentaine d'intervenants).
La presse écrite française étant un sujet plus sérieux que la collection et l'étude philatéliques et postales, l'omni-président s'est fort justement déplacé pour ouvrir les discussions sur quelle presse ? comment attirer les jeunes ? quel contenu : enquêté par des journalistes ou recopié des dépêches de ministères ? comment porter le tout jusqu'au débitant de presse et aux abonnés ? Et à quel prix, quand les sites web des journaux et magazines sont soit gratuits, soit vendus dématérialisés ?
Sur cette dernière question : même prix en version papier qu'en version numérique, mais alors quelle marge pour le magazine économisant l'impression et le port ! Prix différent avec prime au lecteur numérique, mais quelle est alors la valeur du travail de recherche et rédaction et de la connaissance ainsi créée ?
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