Après une collation post-nocturnale et maritale dans la bonne ville de Rungis, notre omniprésident, par la grâce du scoop et du flash light, premier des ministres de France, a apprécié les efforts accomplis pour satisfaire son souhait d'états généraux de la philatélie.
Il a vu que cela était bon - même si on ne sait pas trop en quoi - et qu'il n'avait pas eu besoin d'y assister.
Il accorde par imposition que ces grandes messes - appelées « simple colloque » par les vilains comme moi -sont désormais semestrielles pour son bon plaisir.
En conséquence, en octobre de l'an II de son règne, auront lieu des « états généraux de la presse », autre milieu lucratif du royaume qui pleure de crise plus que d'efforts innovatifs pour rencontrer sa clientèle actuelle.
PS : en parlant de presse, Didier Michaud de Timbres magazine semble s'être lancé depuis quelques numéros dans l'histoire des timbres semi-modernes de France, avec récit du contexte de l'époque, éléments biographiques des artistes.
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