Une des empreintes d'affranchissement délivrées au comptoir du Post Office.
Il fallait demander le deuxième échelon pour la France pour y avoir droit,
sinon la consigne était de mettre un Machin habituel.
Il fallait demander le deuxième échelon pour la France pour y avoir droit,
sinon la consigne était de mettre un Machin habituel.
Ian Billings de Norvic Philatelics et Julia Lee de Stamp Magazine, rencontrés sur place, m'ont confirmé que l'entreprise des bureaux de poste s'est tardivement décidé à prendre un stand à l'exposition internationale qui a eu lieu du 8 au 15 mai dernier.
Pourtant, outre des timbres-poste, elle dispose dans ses bureaux et ses comptoirs, installés dans des commerces de toute sorte, d'outils d'affranchissement qui commencent à s'intégrer à la philatélie britannique. Comme, ci-dessus, le nouveau support des empreintes de machines à affranchir ou Golden Machin label.
Ce support, remplaçant progressivement les blanches étiquettes Horizon, avait été testé au bureau - tout proche du Business Design Center - de Camden Street, il y a un an. Essai concluant puisque, depuis le 20 avril 2010, l'ensemble des bureaux de poste du pays de Galles les utilise, avec une extension progressive à l'ensemble du royaume.
Seule limite pour les collectionneurs : utilisée à partir des seconds échelons et recommandation, pas d'étiquette neuve disponible. L'employé les imprime et les colle lui-même. Sous mon nez, il commit d'ailleurs une erreur en imprimant le support. Il lui fallut imprimer deux tickets de caisse et fixer deux agrafes sur l'étiquette neuve au dos maculé avant de pouvoir reprendre normalement l'opération avec une nouvelle étiquette. Pas de fuite... Je pense qu'outre-Manche celui qui présenterait un exemplaire neuf se verrait accuser de vol ou de recel par le Post Office.
Cette mise en place de ces étiquettes étant réalisé sans tambour, ni trompette, y compris au Festival of Stamps de Londres. Le Post Office était installé dans une salle complémentaire où on avait pu placer quelques administrations postales (et le café), certainement à moindre coût pour elles que dans la grande halle où se trouvaient les marchands ravis.
Et, pourtant, ce ne sont pas les clients qui manquaient, d'après le grand nombre de visites de l'équipe technique, recensées par Ian, pour soutenir le pauvre distributeur de timbres (ci-dessus) qui a crié pitié à plusieurs reprises.
Mon courrier fut oblitéré au centre de tri de Mount Pleasant, à Londres,
plus au sud du Business Design Center en suivant l'avenue.
plus au sud du Business Design Center en suivant l'avenue.
Les timbres de ce distributeur, généralisés depuis octobre 2008, portait l'approprié code bureau "2010".
φl@poste, elle, ne se fera certainement pas prier, comme d'habitude, pour installer tout son toutim au Salon du timbre de ce mois-ci. Le toutim-φlatélique comme le toutim-φnancièrement rentable, ainsi que le toutim-en cachette.
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