La cause : déjà peu préoccupé de φlatélie φrançaise, j'ai commis une erreur de méthode en ne ressortant pas le deuxième bloc acheté par collectionnite pour le confronter à celui scanné et destiné à l'usage postal.
Le trait blanc n'apparaît que sur ce dernier. Vu trop rapidement et d'après l'accumulation de mini-surprises, j'ai pensé automatiquement que c'était une marque de droits d'auteur rendue illisible par les dimensions d'impression en héliogravure.
Jusque là rien de grave : une bêtise écrise sur mon modeste blog... passe inaperçu. Jusqu'à ce que le signale à Alain, l'éditeur du cd-rom-catalogue-gestionnaire de collection Philatélix, alors que celui-ci cherche à bouger les cases et résoudre les énigmes avant sa prochaine parution. Le 24 mai, je lui communique l'adresse de mon précédent article.
Sauf que Franc.K, spécialiste de carnets de France, n'est pas d'accord avec moi. Ce que je découvre aujourd'hui et me met dans le doute.
Le montage des scans d'un de mes timbres de feuille et du timbre de bloc.
Immédiatement, remémoration de cet après-midi de décembre, après un passage au point philatélie de Montpellier... lequel des deux blocs ai-je scanné ? Celui dans mon classeur a-t-il le trait blanc ? Non, il ne l'a pas.
Puis, ce trait, d'où provient-il ? Imprimerie, éraflure entre l'imprimerie et le scan, vitre de scanner particulièrement sale, pouvoir télékinésique me permettant d'influencer la numérisation d'un timbre ?
Et là, souvenir de mon retour anglo-italien du 24 mai : un ami parisien à qui j'avais envoyé un ouvrage m'a, comme d'habitude, rendu les timbres que j'avais collés. 2,22 euro d'affranchissement, ça pesait lourd, mais en jonglant avec un 0,54 euro resté de côté (oh, une de Cheffer), ça faisait joli.
Fragment d'enveloppe rendu au retour de Londres et sur lequel j'avais utilisé l'Astérix du bloc, pensant avoir ainsi un exemplaire oblitéré pendant le neuf dort sur une étagère.
À la loupe : pas des lettres, mais bien un trait désormais recouvert d'un peu d'encre de l'oblitération à son extrémité supérieure. Au toucher, pas de relief.
Mes excuses pour ma bêtise : tous les timbres Astérix de 2009 sont identiques. Ma punition : j'arrête les timbres de France !
...
Comment ça : déjà fait ?
^^'
Ah oui, c'est vrai :|
Ma punition : relire tous les livres et magazines philatéliques chez moi jusqu'à retrouver comment ce trait a pu apparaître sur une rotative héliogravure.
Puis, ce trait, d'où provient-il ? Imprimerie, éraflure entre l'imprimerie et le scan, vitre de scanner particulièrement sale, pouvoir télékinésique me permettant d'influencer la numérisation d'un timbre ?
Et là, souvenir de mon retour anglo-italien du 24 mai : un ami parisien à qui j'avais envoyé un ouvrage m'a, comme d'habitude, rendu les timbres que j'avais collés. 2,22 euro d'affranchissement, ça pesait lourd, mais en jonglant avec un 0,54 euro resté de côté (oh, une de Cheffer), ça faisait joli.
Fragment d'enveloppe rendu au retour de Londres et sur lequel j'avais utilisé l'Astérix du bloc, pensant avoir ainsi un exemplaire oblitéré pendant le neuf dort sur une étagère.
À la loupe : pas des lettres, mais bien un trait désormais recouvert d'un peu d'encre de l'oblitération à son extrémité supérieure. Au toucher, pas de relief.
Mes excuses pour ma bêtise : tous les timbres Astérix de 2009 sont identiques. Ma punition : j'arrête les timbres de France !
...
Comment ça : déjà fait ?
^^'
Ah oui, c'est vrai :|
Ma punition : relire tous les livres et magazines philatéliques chez moi jusqu'à retrouver comment ce trait a pu apparaître sur une rotative héliogravure.
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