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je suis philatéliste. Ça fait quatre mois et demi que je n'ai pas acheté de nouveautés de France.
Les deux premiers mois, ça a été plutôt facile. J'ai même découvert le goût d'une exposition sans acheter.
Je trouve l'avion trop bruyant, lui préférant le train, donc pas d'hydravion en mars. Même la taille-douce sur mise en page connue d'avance m'a révulsé. Villeneuve-lès-Avignon de Luquet m'émut, mais me parut moins chatoyant que le précédent citronné de Menton... Heureusement, l'hideuse marque diabolique me rappela à mon envie de beaux timbres.
Bien entendu, il me fallut me flageller à coups d'orties pour éviter le carnet soutenant le lutte contre la violence faite aux femmes, exprimant le thème par trois regards de portraitistes. Mais dont je me souvins qu'il n'était pas collectionnable puisque ne portant pas la marque et ne convenant pas à mon courrier international.
En mai, l'Europe servit d'excuse pour éviter de nouveau le point philatélie.
Il y a cependant un timbre qui me conviendrait : un sujet philatélico-philatélique, où le symbole honni est caché par une astuce de gravure : le timbre sur Louis Yvert, le confondateur du catalogue Yvert et Tellier.
Hélas... pardon. Béni suis-je dans mon vœu d'abstinence : inclus qu'il est dans un hideux bloc de cinq tatoués, je devrai, après ma déviance londonienne, pouvoir éviter cet achat... ou alors juste un...
Je sombrerai certainement dans la gabegie philatélique avec le surprenant sujet de la piscine de Roubaix devenu musée... puisque ne convenant absolument pas aux besoins sportifs et ludiques de la natation contemporaine.
Arf... quatre mois et demi... encore que... Ai-je besoin d'une photographie de ce musée... ou de le visiter ?
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