Les photographies d'époque choisies illustrent l'engagement et les sacrifices consentis par l'ensemble des habitants, y compris les enfants des villes menacées de bombardements, évacués vers les campagnes.

Dans la légende de Metro, les timbres sont évoqués, mais pas un des lieux londoniens du premier jour d'émission, qui était pourtant alors en pleine effervescence philatélique.
Dans les numéros de juillet et août de Gibbons Stamp Monthly et Stamp Magazine, les rédacteurs et les lecteurs sont revenus sur les succès et échecs de cette exposition décennale, notamment son manque de publicité. Doté d'un budget limité afin de ne pas finir endetté, le comité d'organisation a su doper un petit site, le Business Design Center, mais n'a eu les moyens de promouvoir la manifestation auprès du grand public.
D'un autre côté, s'il faut un nouveau souvenir-scandale pour mettre à flots un salon international...
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