L'animal a bien fait de se baisser pour observer le problème...
La variété non imprimée avec sa découpe imparfaite dans la partie haute, et toujours attaché à sa bande par ses deux millimètres non guillotinés après impression (wucky100 sur eBay). |
Le week-end dernier, nous en étions à deux mille et plus la bande de six, et même, en lot, la proportionnalité était très suivie à ce niveau croissant là.
La nouvelle justification pour faire monter des prix déjà très forts : un des cinq timbres n'a pas reçu sa valeur faciale lors de l'impression réalisée début janvier dernier, que le vendeur a pu prouver par la conservation de la bande entière.
Une chose peu évidente à réaliser : les participants de StampBoards.com, toujours à suivre avec enthousiasme l'évolution enchériste et spécialiste de l'émission, témoignent de la fragilité des deux minuscules millimètres qui relient encore les timbres de distributeur après découpe partielle dans la machine.
Le lot entier que le vendeur a eu l'intelligence de proposer avec le sixième manquant (wucky100 sur eBay). |
Si les timbres portaient des puces électroniques...
Le vingt-deux février, un membre, saphilatelist, a posté son recensement d'après les achats marchands et collectionneurs, et des estimations sur la part non-philatéliques (par les Muggles pour payer leurs factures par exemple) d'après les ventes sur eBay.
Grâce à la découverte fortuite par un collectionneur le jeudi sept janvier et le bouche-à-oreille dans le milieu, un peu moins de deux mille timbres neufs intacts existeraient, soit, d'après lui, presque les quatre cinquièmes des timbres survivants... Spéculation ? Promotion de l'étude spécialisée des timbres CPS de distributeur australien ? Vaste débat.
Un vingt-cinquième serait collée sur du courrier qui n'est jamais parti : les médias généralistes ont explosé l'affaire à partir du samedi vingt-trois janvier et les expéditeurs se sont rendus compte de ce qu'ils possédaient. Au contraire, une quantité équivalente a servi sur du courrier et est encore collée dessus alors cent cinquante auraient déjà étaient été découpés - par chance avec date lisible et le timbre de soixante-dix cents - voire décollés. Cette pratique philatéliste mal expliquée aux muggles qui croit que c'est un rite obligatoire de passage du timbre rare.
Les philatélistes attirés par la cote et la valeur ont déjà évalué les créneaux calendaires pertinents : au plus près du jeudi sept janvier, à la rigueur avant le lundi vingt-cinq mais si preuve de non-philatélisme : avec ou sans tatouage de sécurité alors ?
Dix pour cent des timbres existant ont, enfin, servi sur du courrier créé par des marchands et des collectionneurs de timbres avant la diffusion sur le forum de la nouvelle, le dix-sept janvier ; certains en utilisant des enveloppes à fenêtre anonymisant le destinataire, donc l'origine philatélique traçable... Débat encore : ça permet au moins de valoriser les courriers adressés à des entreprises d'électricité ou à des particuliers sans aucun rapport avec la philatélie.
Chacun jugera de la pertinence commerçante, spécialiste ou complétiste de la bulle spéculative autour des timbres neufs... tout en espérant que davantage d'enveloppes ingénues apparaissent pour prouver l'intérêt postal de l'émission... qui encouragera le gonflement de la bulle...
Ce kangourou peut-il cesser de sauter, please ?
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