samedi 10 décembre 2016

Super Mario sur timbres personnalisés allemands à imprimer soi-même

Un bien long titre pour être précis sur l'appât de Noël 2016 trouvé par la Deutsche Post et Nintendo. Classiquement, le premier, opérateur postal, doit bien trouver comment vendre du timbre à forte valeur ajoutée et attirer les enfants à la collection.

Le second, consolier et éditeur de jeux vidéo, est en pleine campagne de promotion de son arrivée dans le monde des jeux pour smartphones avec Super Mario Run*, et de la sortie au printemps 2017 de sa nouvelle console de salon, la Switch, qui doit faire oublier le relatif échec commercial de la WiiU.
Une des multiples personnalisations possible du feuillet Super Mario (PlayNation.de).
Ce qui donne sur le site Ihre individuelle Post, le choix de sélectionner la valeur faciale parmi une longue liste (de la carte postale intérieure à quarante-cinq centimes jusqu'à sept euros pour une lettre hors format internationale jusqu'à un kilogramme).
Cliquer, tenir, glisser, créer son feuillet (Post Individuell de Deutsche Post).
Ensuite, c'est partie pour un petit jeu de personnalisation de timbràmoimême : quel personnage parmi les quatre héros de la série des jeux Super Mario et sur quel fond de couleur typique de Weihnachten. Le bouton gris en-dessous à droite de l'image permet de passer en fond O Tannenbaum.

Concernant le plumage de la famille imprudente... la tarification : la poste allemande distingue la valeur faciale variable selon le choix initial du coût fixe de la personnalisation (3,49 euro par feuillet, taxe sur la valeur ajoutée de 19% comprise). C'est proportionnellement beaucoup pour les tarifs intérieurs (soixante-dix centimes la lettre standard, soit 2,80 € le feuillet), moins pour illustrer une lettre pesante.

À en croire le site Puissance Nintendo, le produit payé est à imprimer soi-même... Donc, du papier épais voire autocollant, et des cartouches d'encre dans l'imprimante maison...

Finalement, offrir un jeu vidéo Mario ? Séb, sois φl@téliste pour une fois :p

* : rappelons que le jeu Pokémon Go de capture, d'esclavage et de torture par combat d'animaux fictifs en réalité augmentée (le simple plein air étant insuffisant dans une société consumériste), qui a marqué les médias et les écoliers en vacances l'été dernier, n'était pas une création de Nintendo ou de sa filiale The Pokémon Company, même si la marque Pokémon leur appartient.

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