Un bien long titre pour être précis
sur l'appât de Noël 2016 trouvé par la Deutsche Post et Nintendo. Classiquement, le premier, opérateur postal,
doit bien trouver comment vendre du timbre à forte valeur ajoutée et attirer les enfants à la collection.
Le second, consolier et éditeur de jeux vidéo, est en pleine campagne de promotion de son arrivée dans le monde des jeux pour smartphones avec
Super Mario Run*, et de la sortie au printemps 2017 de sa nouvelle console de salon,
la Switch, qui doit faire oublier le relatif échec commercial de la WiiU.
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Une des multiples personnalisations possible du feuillet Super Mario (PlayNation.de). |
Ce qui donne sur le site
Ihre individuelle Post, le choix de sélectionner la valeur faciale parmi une longue liste (de la carte postale intérieure à quarante-cinq centimes jusqu'à sept euros pour une lettre hors format internationale jusqu'à un kilogramme).
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Cliquer, tenir, glisser, créer son feuillet (Post Individuell de Deutsche Post). |
Ensuite, c'est partie pour un petit jeu de personnalisation de timbràmoimême : quel personnage parmi les quatre héros de la série des jeux
Super Mario et sur quel fond de couleur typique de
Weihnachten. Le bouton gris en-dessous à droite de l'image permet de passer en fond
O Tannenbaum.
Concernant
le plumage de la famille imprudente... la tarification : la poste allemande distingue la valeur faciale variable selon le choix initial du coût fixe de la personnalisation (3,49 euro par feuillet, taxe sur la valeur ajoutée de 19% comprise). C'est proportionnellement beaucoup pour les tarifs intérieurs (soixante-dix centimes la lettre standard, soit 2,80 € le feuillet), moins pour illustrer une lettre pesante.
À en croire le site Puissance Nintendo, le produit payé est à imprimer soi-même... Donc, du papier épais voire autocollant, et des cartouches d'encre dans l'imprimante maison...
Finalement, offrir un jeu vidéo
Mario ? Séb, sois φl@téliste pour une fois :p
* : rappelons que le jeu Pokémon Go de capture, d'esclavage et de torture par combat d'animaux fictifs en réalité augmentée (le simple plein air étant insuffisant dans une société consumériste), qui a marqué les médias et les écoliers en vacances l'été dernier, n'était pas une création de Nintendo ou de sa filiale The Pokémon Company, même si la marque Pokémon leur appartient.
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