La couverture British de L'Écho de la timrbologie de février 2018 (boutique web du magazine). |
Son partenaire poursuit ce même mois dans Gibbons Stamp Monthly son récit des aventures du Rocher d'en face : en 1891, comment la maîtresse des postes Margaret Susan Creswell dut faire face à une pénurie de timbres à Gibraltar et dans ses filiales marocaines.
Pour en revenir à l'article de Madame Bastide-Bernardin, ceux qui n'ont jamais visité le 41 Devonshire Place découvriront l'endroit, sa bibliothèque, son moment thé et son histoire, accrochée à tous les pans de murs... mais vont devoir se presser à Londres pour découvrir l'adresse avant l'emménagement d'ici 2019 de la RPSL dans la Cité de Londres... à une adresse encore mystérieuse et confidentielle, dont la quête est détaillée dans un entretien avec Chris King, ancien Président et directeur du Comité de développement de la Société, publié dans le numéro du mois du London Philatelist.
Du transitoire au durable, résumait la Française en éditorial : le dernier adjectif pour la société londonienne et ses traditions, à peine perturbées par le chocolat et la bière de son nouveau Président belge Patrick Maselis (interviewé dans le même Écho) ; le premier pour un des aspects insistants de la Société et de la classe ouverte en France : l'intérêt pour les petits objets paraphilatéliques des médailles aux programmes d'expositions, etc.
Pourvu qu'elle propose cet éditorial à la lecture du service informatique de sa maison-mère pour une durable mise à jour du transitoire kiosque numérique de son mensuel. En effet, celui-ci dépend du logiciel Silverlight de Microsoft - évitant fort justement les risques de diffusion gratuite et illicite de fichiers pdf par d'ingrats lecteurs, mais que la compagnie états-unienne ne maintient plus à jour pour les navigateurs web depuis quelques années...
En espérant que mes vains trois euros quatre-vingt-dix centimes pour ce numéro virtuel - quelle idée d'avoir un ordinateur à jour ! - servent à financer un passage à un logiciel plus efficace... Et merci à l'abonnement collectif d'une association philatélique locale.
Dans ce domaine, L'Écho de la timbrologie peut se tourner vers Geoff Eibl-Kaye qui a réalisé un magnifique travail avec les archives numériques du London Philatelist depuis 2005, ou en raison de sa retraite du projet, vers son successeur Julian Jones.
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