La nouvelle marque d'affranchissement, avec toujours une adresse à Paris International. |
Désormais, la marque Asendia est bien mise en avant : sur un marché du courrier et du colis de plus en plus concurrentiel, il faut se montrer au destinataire et montrer son origine franco-suisse.
Le port payé pour la France de La Poste est réduit en surface au profit de la mention prioritaire (jy reviendrai).
Tout cela laisse apparaître un nouvel élément : un code datamatrix, ce carré emplit de pleins et de vides d'encre. Contient-il l'information du port payé entre le point de collecte et la destination française ? Et, peut-être, l'adresse de retour en cas de non possibilité de distribution ?
L'avancée vers le tout automatisé se poursuit : tant de code datamatrix scanné = tant à facturer entre les opérateurs ? Tant de pourcentage de livraison en temps et en heure avant pénalité ?
La feuille entière aux deux codes datamatrix qui cache la couverture du magazine. |
Par contre, sur la feuille entière, l'impression lignes lisses et caractères d'imprimerie a laissé place à du jet d'encre pas toujours bien aligné pour cette mention postale.
Origine : Asendia ? Le prestataire de l'éditeur du magazine a changé de machine ? A changé tout court ?
Cela fait-il arriver le magazine en France plus vite ?
A priori au moins autant qu'avant puisque le numéro daté janvier 2019 est bien arrivé avant Noël, tandis qu'un de ses concurrents traînent encore entre les centres de tri d'opérateurs changeants selon les mois.
Par contre, avec un effort financier, ça peut aller plus vite : Stamp Collector arrive à coup sûr en début de mois et The London Philatelist dans les tout premiers jours du mois, mais sûrement car ce dernier est expédié courrier de première classe avec Royal Mail.
Pour retrouver les épisodes précédents, relire l'article du lundi 28 mars 2016.
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