L'exposition privée Stockholmia 2019 est terminée depuis début juin, mais ses administrateurs terminent les comptes qu'ils rendront publics lors de London 2020 en mai.
Une des particularités de cette exposition a été d'en assurer l'équilibre immédiat par des dons privés : un mécène ayant permis de réserver très tôt - et donc au meilleur prix - le lieu, quelques dizaines de donateurs et patrons de plus ou moins grande importance et une entrée payante pour le reste du public.
Les mécéne, patrons et soutiens furent remerciés par leur identité indiquée sur le panneau présentant chacune des collections proposées par des membres de la Royal Philatelic Society London. C'est ainsi que - par approche nombriliste - je me suis intéressé à une collection de thématique maritime et polaire.
De 1955 à 1968, entre la Nouvelle-Zélande et le détroit McMurdo, en Antarctique, des navires néo-zélandais et états-uniens participèrent aux opérations Deep Freeze, une nécessité avant les moyens très longue distance de communication, notamment satellitaires.
Ces navires jouaient de le rôle de piquets-radar (picket ships) permettant de repérer et d'aider à se repérer les aéronefs circulant entre la métropole néo-zélandaise et sa zone revendiquée en Antarctique, la Dépendance de Ross.
Avec nombre enveloppe aux cachets illustrés des navires, leurs photographies et quelques coupures de presse, la Néo-Zélandaise Teresa Harry raconte la douzaine d'années de missions effectuées. Soulignant tout de même que certaines oblitérations de la base néo-zélandaise Scott sont de complaisance, le navire concerné n'y ayant pas fait passage.
Une autre approche de l'histoire postale polaire.
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