Depuis une décennie, le moustique-tigre s'est implanté en France métropolitaine, espèce invasive originaire d'Asie du Sud-Est, un des charmes écologiques de la mondialisation des échanges.
L'inquiétude est que ce moustique peut transmettre des maladies tropicales s'il croise un porteur, revenant de voyage par exemple. Comme ce fut le cas à Montpellier, en octobre dernier, avec une mini-épidémie de chikungunya.
Comment limiter son installation alors que le développement durable a remis en cause certaines politiques chimiques de démoustication à grande échelle ? Autour de Montpellier, cet été, le courrier des lecteurs de La Gazette de Montpellier montra un ras-le-bol face à une présence plus massive des moustiques habituels.
Une comparaison entomologico-numismatique |
Ayant passé une bonne partie de l'été en Angleterre, tout en passant mon temps montpelliérain en étage élevé dans un quartier assez sec, je n'ai croisé le petit rayé qu'une fois, à neuf heures du matin, en allant faire des courses... Ce spécimen a confirmé la réputation que des connaissances m'avaient laissée, un an auparavant : il s'accroche au sombre et est très collant.
La dernière de couverture du prospectus distribué dans les boîtes aux lettres des résidents de l'Hérault, pendant l'été 2014 (Agence régionale de santé Languedoc-Roussillon). |
Pour donner une échelle, le montage le présente à côté d'une pièce d'un centime d'euro, d'utilisation courante vu l'assombrissement de la face commune et une saleté qui a dû protéger la zone plus luisante en haut à droite.
Ce n'est pas de la grande collection lol
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